mercredi 13 mars 2019

La Différence des angles : Deuxième partie des Quatre algèbres de la mécanique hyperbolique algébrique

Dans mon article précédent sur les Quatre algèbres de la mécanique hyperbolique algébrique, j'avais prévenu de ne pas faire la Différence des angles sur ce schéma de la Somme, car ce n'est pas la même chose, et le résultat serait faussé. Il y aurait bien une apparence de fonctionnement, mais dans une structure différente que celle de base, authentique. Elle serait pro-Somme, avec l'algèbre de la Somme, le conjugué, autrement dit, juste à changer le signe, ainsi que le produit par le rapport dans le triangle trigonométrique, avec la trigo de l'un et le gonio de l'autre qui suivent, logiquement.

La Différence est compliquée, mais pas nécessairement complexe

Et on penserait que ce serait la vraie algèbre de la Différence, ainsi modelée sur celle de la Somme, facilement concevable, parce que sa géométrie est assez élémentaire. Par contre, si on devait se partir de la Différence, avec un angle qui peut tout autant décroître qu'augmenter, la problématique serait différente, beaucoup plus complexe. Ne sachant pas trop de quoi il s'agit, on introduirait peut-être des nombres négatifs pour essayer d'en rendre compte, sinus quand il croît, et moins sinus quand il décroît, comme si ce serait un cosinus, en fait.

On voit ainsi comment ont pu être introduits les nombres négatifs. À défaut de savoir comment fonctionne une géométrie compliquée, ou supérieure, parce que quand on soustrait et divise ça n'a plus la même stabilité que quand on additionne et multiplie, il n'y a qu'un pas à penser que ça doit se situer dans le monde négatif, et créer de tels nombres. Et comme ça semble fonctionner, ça devient la norme, mais vite dépassée par l'illogisme de sa radicalisation, nécessitant une autre convention algébrique en découlant, radical moins un, le nombre imaginaire, suite à une symétrisation de la pseudo-arithmétique exponentielle avec une trigonométrie circulaire complexe, dont le sinus est multiplié par radical moins 1, et qui s'appelle i sinus. Et inversement, faire correspondre une tangente complexe à un sinus réel.

En somme, en géométrie complexe, il s'agit de faire correspondre les angles dits hyperboliques, en tant que logarithmes, puissances exponentielles, aux angles comme tel, dans le contexte de l'utilisation des nombres négatifs, ce qui ne peut se faire qu'en étendant ces derniers à la normalisation de leur radicalisation, ce qui se dit nombres imaginaires, désormais, en lieu et place.

Or, donc, puisque la Différence des angles apparaît comme une géométrie beaucoup plus compliquée que celle de leur Somme, elle pourrait peut-être appartenir au domaine complexe, en raisonnant de cette façon, suivant la norme courante d'utiliser cette géométrie. Et ce serait peut-être bon, logique, mais ce serait une autre structure, parce qu.il s'agit de choses différentes. La géométrie complexe n'est pas le pendant de celle réelle, elle ne s'égalise pas, on ne peut pas faire correspondre l'une dans l'autre. L'algèbre complexe fait référence à une structure différente de celle réelle, qu'on voit bien quand on dit qu'il y a ou non des solutions réelles.

Autrement dit, sur certains points de la géométrie complexe, il peut y a voir correspondance avec la géométrie réelle, mais pas sur d'autres. Donc, elles ne parlent pas de la même chose, même si certains points peuvent coïncider. Les structures sont différentes.

Ainsi, même si la Différence des angles était bel et bien résoluble en géométrie complexe, ce ne serait pas la même solution qu'en géométrie réelle. Ce serait une structure différente, un peu comme de la faire correspondre à la géométrie de la Somme. Ça existe, mais ce n'est pas ça, ce n'est pas de ça qu'il s'agit.

Exceptionnalité et profondeur algébrique de la Différence


Tout ça pour dire qu'il ne s'agit pas de géométrie complexe, ici, même si ce dont on parle est très compliqué. C'est de la géométrie supérieure, mais strictement réelle.

En mécanique hyperbolique algébrique, la Différence des angles existe en relation avec la géométrie de leur trigonométrie, qui est en tangente, alors qu'elle était en sinus pour la Somme. Voici le schéma, avec les explications plus bas.

La Différence des angles des variables, 2e partie des Quatre algèbres de la mécanique hyperbolique algébrique

Je dois parler du diagramme combinatoire de tous les systèmes, même si je ne l'ai pas encore publié, pour y référer, mais ce sera assez bref et concis, simple, pour comprendre un peu, j'espère, en attendant.

Le tête-bêche du cartésien de l'apposé en tangente dans le diagramme symétrique des systèmes

Le diagramme des systèmes comporte deux parties, l'euclidienne et la cartésienne. La 1ère est dite du produit des variables, et l'autre du rapport, mais pas de la même variable, plutôt de l'inverse de son cycle. Le cycle s'entend de l'étape décroissante après celle croissante, ou vice-versa.

Le sinus, par exemple, s'accroît, puis devient sécante, et décroît par la suite en cotangente, ce qui est son cycle, sa progression décroissante. Pour la tangente, c'est la cosécante. Dans le diagramme, il s'agit cependant de la trigonométrie de l'angle asymptotique, appelé habituellement a, mais que j'appelle radical Alpha majuscule dans le schéma, dont on prendra le cycle. Soit, donc, radical I et V, respectivement, mais que je garde au carré pour plus de simplicité, parce que ce sont des ordres: la tangente à l'ordre I, et le sinus à l'ordre V.

De plus, il ne s'agit pas de progression comme tel, que j'avais utilisé pour démontrer, mais de cycle seulement: le cycle circulaire ou hyperbolique, dépendant de la trigo utilisée. La partie en sens inverse.

Celà étant dit, on peut mieux comprendre que le sinus à l'ordre V, à l'euclidien, le sera à celui I au cartésien, parce que c'est l'inverse de E, la cosécante au carré de l'asymptote, le cycle de V. Mais pas dans la même position, car il s'agit de rapport et non plus de produit: À E, c'est toujours un produit, mais avec son inverse, I, c'est un rapport, parce que la position est différente.

Ça change de position parce que ce sont 2 systèmes différents, au cartésien: E fois le sinus appartient au système cyclique, de l'autre côté du cycle de l'ordre V. Le sinus et l'ordre demeurent en position identique, soit central et tribiné principaux tous les deux, respectivement.

L'inverse de E, I, lui, est en position central secondaire, pendant que le sinus demeure à la même place. Ce qui fait que le g cartésien, l'angle de l'opération des variables, n'est plus à la même place qu'à l'euclidien, parce que le signe de l'opération multiplicative est changé, pour une même géométrie du produit du tribiné par le central.

Car c'est la particularité de ma géométrie d'être invariante: elle est strictement multiplicative, de sorte qu'un rapport est une multiplication par l'inverse. C'est peut-être le sens donné à la non-commutativité multiplicative, introduite et promulguée par Alain Connes, je ne sais pas, car lui c'est pour une application quantique très compliquée, mais c'est ce à quoi ça me fait penser. Il n'y a pas de division, mais si on en voit, parce qu'il est difficile de s'en passer, algébriquement, elle doit être interprétée comme le produit par un inverse.

C'est ce que signifie géométriquement l'ordre, qui est arithmétique: tant de fois le sinus, ou la tangente, etc.. Si je dis le sinus sur tant de fois, je multiplie par l'inverse. Il y en a un qui doit être inverse, pour que ça demeure un produit. Trigonométriquement, ce n'est pas un problème, car tout guide a son inverse. Sinus sur V signifie sinus par W, son inverse, etc.. Et c'est l'interprétation qu'il faut lui donner, car la géométrie est ue mécanique de la multiplication, strictement, pas de la division.

Ce qui n’exclue pas les fractions, au contraire, mais en tant que multiplicateur, pas comme l'inverse d'un nombre, qu'il faudrait diviser. V est lui-même la généralisation d'une fraction. Le sinus est multiplié par une fraction, par l'inverse d'un nombre, et non divisé par ce nombre. Quand c'est le cas, justement, c'est que les positions de la variable et du résultat de l'opération s'échangent mutuellement, pour que ça demeure une multiplication, géométriquement parlant. Sinon, les géométries de la multiplication et de la division s'interchoqueraient et ce serait comme tautologique, tourner en rond.

Ce doit être l'un ou l'autre, et comme la multiplication est plus facile et naturelle en géométrie, comme ordre arithmétique des guides trigonométriques, c'est celle qui est utilisée, choisie. La non-commutativement n'exclue pas la division, algébriquement indispensable, mais signifie seulement qu'elle est interprétée comme le produit par un inverse.

En position différente, central secondaire, donc, le I divise le sinus, ce qui préserve le produit par ce dernier comme apanage, prérogative, du tribiné: I sur sinus par le sinus égal I. Du tribiné, on multiplie, et du central secondaire on divise. C'est ainsi que la géométrie demeure la même tant au cartésien qu'à l'euclidien, même si on fait une division plutôt qu'une multiplication dans celui-là.

Le système cartésien de la division correspond à celui euclidien de la multiplication, avec le sinus comme invariant, dans la même position. Chacun a un système cyclique réciproque l'un l'autre, à part, dans la même partie, respective, du diagramme.

Dans la géométrie de la Somme, faite précédemment, seul l'euclidien était en cause, car il est simple et je n'avais donc pas d'affaire à aller dans la partie cartésienne du diagramme des systèmes. Pour la Différence, cependant, sa géométrie se passe plutôt du côté cartésien, mais en sinus sur la portée de la tangente, et au tête-bêche, en plus. C'est celà qui demande explication, car on n'est plus dans le monde ordinaire, en géométrie simple.

Mais déjà, comme j'ai expliquer les 2 parties, euclidienne et cartésienne, du diagramme des systèmes, avec l'exemple du sinus, en particulier, on peut mieux comprendre celui en tangente: son ordre est I, le sinus au carré de a (sous-entendu radical Alpha majuscule dans le schéma), son cyclique est W, la cotangente au carré de a, et l'inverse de ce dernier est V, qui va diviser la tangente du côté cartésien. Son radical, sous-entendu.
Revenons à son euclidien, qui est sa géométrie normale, la mécanique de la tangente. Sur sa portée, elle peut aussi se faire en sinus, dans le sens que, s'il se rapporte à son complémentaire, ça fait un sinus, le sinus du même angle: (tan / séc) = sin. Comme la tangente est à l'ordre I, et que son contre-combiné est égal au guide de g, radical I par tangente, sur son complémentaire, la sécante, on voit bien que I (son radical, sous-entendu) multiplie ainsi le sinus, ici binaire, de l'angle, t, que j'appelle tau minuscule dans le schéma. Et comme le contre-combiné se lit en tangente, il ne s'agit que de faire sa mécanique pour le lire en sinus, devenant ainsi central secondaire du système en sinus fait avec le guide tangente, de par son rapport avec son complémentaire.

Ce sinus, tan / (1+ tan²)½, que j'appelle sbin pour sinus binaire dans le schéma, pour faire court, faute de place, va remplacer la tangente dans son propre diagramme, pour en faire un en sinus, en sinus binaire, plus précisément, parce qu'il est fait avec la tangente comme guide.

Alors, de la même façon que la tangente est à l'ordre I, à l'euclidien, et à V, au cartésien, il en sera de même pour le sinus binaire, ce qui est tout à fait l'inverse du système en sinus lui-mème, qui va de V à I, respectivement. Donc, on peut ainsi diviser V par le sinus binaire, ce qu'on ne pouvait pas faire avec celui ordinaire, guide trigonométrique. Il s'agit pourtant du même angle, le sinus du même angle, sauf que le faire binaire signifie qu'il est désormais en algèbre de la tangente, ce qui comprend son ordre, et sa variante propre du côté cartésien.

Ce système binaire est dit "apposé", dans ma terminologie propre, ou nomenclature. Faire l'apposé signifie faire.la mécanique opposée avec le même ordre. Si l'angle central principal, t, demeure le même, en changeant seulement le guide pour le guide binaire, celui secondaire, g, n'est plus le même, et est remplacé par la mécanique du contre-combiné..Alors, c'est ce qu'on a, maintenant, du côté par défaut, euclidien, un système apposé en tangente, fait avec le binaire de l'angle t, ce qui est en fait, donc, un système en sinus, binaire, faut-il préciser.

Du côté cartésien, maintenant, il en résulte que radical V sur le sinus binaire est en position tribinée, qu'il faut permuter avec celle du sinus binaire, sans mécanique, i.e. sans changer l'angle propre de chacun, ce qui s'appelle un tête-bêche, dans ma terminologie, toujours, lequel mécanise seulement l'angle central secondaire, le radical V,, ici, en l'occurrence, mais qui l'était déjà, en tant que sinus, mais qui la perd, redevenant ainsi tangente, sa vraie nature.

C'est ce qu'on voit dans le premier double triangle du schéma, un système en tangente, qui est le tête-bêche du cartésien en sinus binaire. L'angle et l'asymptote, respectivement en position tribiné principal, pas sur le schéma car seulement les angles centraux y sont, et central secondaire, demeurent inchangés et peuvent ainsi être soustraits comme ils ont été additionnés dans le schéma de la Somme. Le rapport trigonométrique radical V sur sinus binaire, les même termes que pour le produit dans le schéma précédent, se trouve, lui, en position central principal.

Le double triangle goniométrique correspondant est donc le véritable système de la Différence des angles. L'autre angle est équivalent à (S -D) / 2, ce qui aurait été la mécanique de (S + D) / 2 si on l'avait copié sur le système de la Somme, une distorsion qui se serait répandue aux trois autres parties du schéma par la suite.

Je savais que ce n'était pas ce qu'il fallait faire, parce que je connaissais l'existence du diagramme combinatoire de tous les systèmes, que j'ai découvert théorisé moi-même. Je savais que le rapport radical V sur le sinus s'y trouvait, quelque part, tout comme le produit, même s'il n'était pas évident dans le diagramme de base, par défaut. Il n'y était pas, en réalité, mais connaissant déjà, aussi, le système apposé, où l'ordre est opposé à celui du guide propre, je savais qu'il devait s'y trouver là, dans un diagramme complémentaire, propre à à cet apposé, ici celui en tangente, en l'occurrence.

Et comme le sinus et la tangente ont des ordres antinomiques dans les deux parties du diagramme de base, ça m'a conduit, en même temps, à la découverte fondamentale, que le diagramme d'un système apposé est l'exact symétrique du diagramme de base du système opposé. Soit, comme avec l'expérimentation que j'en ai fait ici, le diagramme de l'apposé en tangente est l'exact symétrique de celui en sinus. L'angle central est le même, et les ordres euclidien vers cartésien sont exactement en sens contraire l'un de l'autre.

La Différence et son élément peuvent aussi être en sinus

Globalement, on voit que la Somme et la Différence se composent chacun avec leur élément propre, S avec (S + D) / 2 et D avec (S - D) / 2, et que ces derniers se font en tangente, à l'encontre du sinus aux premiers.

Que S soit en sinus et D en tangente dépend du guide utilisé initialement, soit donc pour S. Si je m'étais parti du guide tangente, ce serait le contraire. De même pour les autres couples de guides opposés binairement, sécante avec cosécante, et cotangente avec cosinus. Donc, les angles arithmétiques peuvent être de toutes ces trigonométries, dépendant du guide utilisé en premier.

Donc, D et son élément peuvent aussi être en sinus, avec exactement les mêmes angles, car on parle des trigonométrie de t (tau minuscule au schéma) et de a (radical Alpha majuscule au schéma), quelque soit le guide utilisé. C'est en se partant de la tangente, où S et son élément, eux, seraient en tangente, alors que D avec son élément seraient en sinus binaire. Sur le 2 schéma, il ne s'agit donc que d'échanger les termes, sinus pour tangente, V pour I et sbin (sinus binaire) pour tanbin (tangente binaire), en même temps que la forme des triangles dans les 2 schémas.

Seuls les angles des produit et rapport des variables ne seraient pas pareils, aussi. Quand on ne travaille qu'avec un seul guide, leurs noms généraux suffisent: g pour le produit, et la mécanique du contre-combiné cartésien pour le rapport. Dans le schéma de la Somme, j'ai utilisé g, qui était suffisant, et le nom complet du contre-combiné cartésien dans celui de la Différence, ici. Pour le g, il peut être spécifié circ (circulaire) ou hyp (hyperbolique), pour différencier celui en sinus de l'autre en tangente. Quand à la mécanique du contre-combiné cartésien, il s'agit de changer les termes dans le nom au complet, c pour h (circulaire pour hyperbolique), puis c pour h avant le sous-indice, lequel serait donc en inverse de V plutôt que de I.

Ainsi, on peut préserver la formule classique de la trigo de S et D en sinus, à la seule différence, qui est un acquis, ou atout, avantage, que leurs éléments respectifs ne proviennent pas du même guide trigonométrique en mécanique hyperbolique algébrique, ni de la même partie, euclidienne versus cartésienne, du diagramme des systèmes inhérent. Ce qui veut dire qu'avec n'importe quel système trigonométrique on peut faire l'arithmétique des angles en suivant la même procédure comme modèle, et vice-versa depuis n'importe quelle arithmétique des angles classique.

Ce schéma est un exemple de connexion avec d'autres systèmes


Cette dernière étant très limitée d'avance, c'est en fait une connexion que l'on fait avec elle, pour lui transmettre toutes les possibilités, infinies, sans limite, de la mécanique hyperbolique algébrique. Même toute géométrie exponentielle peut y être incluse, ainsi que toute géométrie goniométrique logarithmique, à partir du modèle des triangles de dessous du schéma. C'est pour ça que j'ai fait ça, pour sortir des limitations considérables de la géométrie classique, et même exponentielle et logarithmique, qui reviennent toujours aux mêmes termes et formules surannés, étude et travail oblige, comme si c'était la seule manière de faire de la géométrie.

J'étais très jeune quand j'ai pensé ça. Je savais qu'il y avait une autre géométrie, car je la voyais dans mon esprit. Mais il n'y avait aucun livre là-dessus, aucune documentation, et personne ne savait de quoi je parlais quand je posais des questions, j'essayais de m'informer. Alors je me suis dit que c'était probablement seulement moi qui voyait cette géométrie, qui la connaissait, et donc que j'étais le seul qui pouvait la théoriser, et la faire connaître, si possible. Mais je devais d'abord l'apprendre, voir comment elle fonctionnait, car je ne le savais pas.

Depuis ce temps, rien n'a vraiment changé. Je vois les savants travailler dans le ciel et dans l'atome avec des moyens mathématiques très limités, dont ils se plaignent souvent qu'ils ne peuvent rien faire avec, pas du tout adaptés à la hauteur de leurs travaux. Toute la géométrie classique actuelle, courante, est basée sur des découvertes faites en un temps où il n'y avait rien de ce qu'on vit aujourd'hui, les moteurs, l'électricité, l'ordinateur, le quantique et l'astronomie à l'ère des fusées et de l'exploration spatiale, la radio et télévision, etc.. On s'en foutait bien des calculs à l'infini et des nombres négatifs et imaginaires, car ils n'y avait rien à faire avec, seulement de la haute-voltige intellectuelle universitaire, réservée aux seuls initiés, comme dans les sociétés secrètes.

C'est ça qui bloque les savants d'aujourd'hui, devoir travailler avec une mathématique imprécise comme le calcul différentiel et la géométrie complexe, élevés au rang de seules méthodes possibles en géométrie supérieure, parce que personne ne sait comment faire autrement, depuis qu'on a mis de côté la géométrie strictement réelle, faute de savoir comment elle fonctionnait vraiment. Faute de recherche dessus, elle ne s'est jamais développée depuis.

Mais c'est la seule qui soit précise à 100%, comme on le voit avec ma géométrie, la mécanique hyperbolique algébrique. Elle peut tout faire avec une précision absolue ce que la calcul différentiel et la géométrie différentiel prétendent être les seuls à maîtriser. Ce schéma de l'équivalence de la géométrie complexe en est un exemple. D'autre part, mes travaux personnels sur la différentielle et la dérivée arrivent présentement à terme avec une algèbre exacte, sans aucun calcul à l'infini.

Ce que je peux faire moi-même est très limité, cependant. C'est selon mes connaissances, les courbes que je connais, l'algèbre et les théories logiques, etc. Et je n'en suis qu'au début de la théorisation, découvrant des structures élémentaires, d'abord, petit à petit, et plus évoluées, à mesure. Mais je sais que les possibilités sont infinies, qu'il n'y a pas de limite à ce qu'on peut faire avec cette géométrie.

L'opposition circulaire - hyperbolique et l'ordre

L'opposition binaire est  la réciprocité des ordres, qui sont comme les binaires de chacun, le guide sur le complémentaire. Elle est différente de l'opposition mécanique, qui dépend du mécanisme des angles, et sont les ordres se rapportent. En sinus et tangente, ces deux types d'opposition sont égaux, mais complètement différents pour les autres guides trigonométriques.

L'opposition binaire sert à la réciprocité des ordres, qui permet le passage de la mécanique (ordre mobile) au revers-mécanique (ordre fixe), sans saut ni trou, dans le traçage des courbes. C'est la principale opposition algébrique.

L'opposition mécanique, elle, est relative à la symétrie du guide, de même niveau (la mécanique du sinus est une tangente, et inversement, par esemple), des courbes circulaires et hyperboliques, qui peuvent autant décroître que croître. Comme la décroissance est exceptionnelle, on peut convenir que le vrai combiné est celui croissant, mécanisé au complémentaire, si on veut que tout soit anti-horaire.  C'est plus facile à comprendre. Alors, le combiné décroissant demeure en place, parce que c'est lui qui est symétrique, et garde le nom du combiné, même si ce n'est plus le vrai, selon notre convention. Le vrai combiné croissant, lui, demeure rattaché à la structure, mais en regard d'autres systèmes qui en ont besoin. On peut ainsi voir les systèmes reliés naturellement, et les structures qui les unissent. C'est très intéressant.

L'exemple le plus facile est le combiné hyperbolique. Il décroît et ce n'est pas son vrai nom, i.e. qu'il se fait passer pour tel, mais ce n'est pas le véritable, qui est la mécanique de son complémentaire. Mais comme il est symétrique du circulaire en sinus, ça fait plus beau et mnémonique en même temps. Sinon, utiliser le véritable combiné ne serait pas pratique, géométriquement, et n'aurait pas tellement de sens. Ça apparaîtrait mêlé, visuellement, sans véritable cohésion avec celui circulaire, avec lequel il est supposé fonctionner.

Quand l'opposition binaire est différente de celle mécanique, la symétrie des courbes circulaires avec celles hyperboliques dépend de la rotation, i.e. qu'elles peuvent être dans des quadrants différents, mais la problématique est la même. S'il n'y a pas adéquation, le mécanisme complémentaire d'un des combinés peut régler le problème, sans que ça corresponde nécessairement à l'opposition mécanique, qui est plus loin.

Mais la mécanique hyperbolique algébrique est compliquée. Dans la rotation, il y a un moment mécanique, sur lequel repose précisément la symétrie circulaire-hyperbolique, mais au cycle, cette symétrie n'est plus qu'algébrique, et les triangles combinés sont moins comme en phase, complices, balancées ensembles, chacun faisant son affaire de son côté.

C'est pourquoi, dans les oppositions binaires, ça peut apparaître non-symétrique au départ, mais qui peut le devient au cycle, quand ça arrive de pair avec l'opposition mécanique. Autrement dit, l'opposition binaire serait du côté non-symétrique comme tel des courbes circulaires-hyperboliques, mais le deviennent quand elles évoluent vers l'opposition mécanique. Et quand ça arrive, la problématique est la même que pour le in et la tangente au départ, on peut devoir accepter l'inversion mécanique d'un des combinés pour une véritable symétrie des courbes.

Ma géométrie s'appelle comme ça parce qu'il y a, justement, une partie mécanique, dans le sens de symétrique mécaniquement, et une autre algébrique, qui garde la continuité. Ça fait référence au cycle de rotation, un peu comme le yng et le yang, l'est et l'ouest, etc..

Fonctionnement du système en tangente à partir des angles centraux

Toutes les parties du schéma fonctionnent comme le premier, ce sont tous des systèmes en tangentes, indépendamment de la position des variables.

Les combinés, d'abord, qui servent à tracer les courbes, sont faciles à faire, parce que c'est une mécanique: on abat l'hypothénuse de l'un (son complémentaire) par rapport au poteau de l'autre (son guide), ce qui fait sécante de l'un sur tangente de l'autre, qui doivent se lire, donc, naturellement, comme des cotangentes. Le principal est celui avec le guide du central principal, il est dit combiné comme tel, alors que l,autre, le secondaire, est dit contre-combiné. Ils peuvent décroître autant que croître, c'est normal.

Ce sont des combinés hyperboliques, ils se lisent à l'inverse du mécanisme, en tangente, comme les centraux.

Les tribinés, mnémoniquement, c'est l'ordre du système, qui est le guide secondaire au carré sur celui du principal, au carré également, au central, ce qui ferait I, le sinus au carré de a (radical Alpha majuscule sur le schéma) dans le système en tangente par défaut, à l'euclidien. Ce qui n'est pas le cas ici, parce que plus compliqué, mais prenons-le comme modèle, le principe étant le même.

Donc, dans un système normal en tangente, tan et (I½*tan) sont au central, en tant que principal et secondaire, respectivement.. On voit bien que ce dernier sur le premier donne I½, ce  qui est le radical de l'ordre, justement, dont l'angle est a (l'asymptote dans le sens d'angle asymptotique). Comme tribiné, il va se lire comme l'opposé de tan, soit en sinus, parce qu'il est destiné à lui être permuté, éventuellement, où ils n'ont qu'à se mécaniser, chacun, ou demeurer tels dans le cas d'un tête-bêche, qui est aussi une permutation mais où seul le secondaire se mécanise.

Même principe pour le tribiné secondaire, dit contra (pour contre-asymptote), qui est fait avec les complémentaires des centraux, dans le même ordre aussi, à partir du secondaire. Quand on fait la mécanique des complémentaires des centraux, la permutation ou le tête-bêche se fait avec le contra.

Les tribinés ne sont pas visibles quand on fait un système, comme pour faire des courbes, par exemple, car seuls les centraux et les combinés sont utiles. Les tribinés sont plutôt algébriques, parce qu'ils servent à identifier l'ordre et celui des complémentaires. On fait leurs triangles théoriquement, ou en arrière-plan, parce qu'ils sont utilisés lors de permutation ou tête-bêche. Ils sont aussi utilisés dans les tableaux de rotation, où c'est l'ordre qui tourne, par défaut. On voit ainsi quand ils arrivent à 45°, puis 90° et passent au 2ième quadrant, comparativement aux autres triangles, comment ils évoluent de leur côté.

Au revers-mécanique, où l'ordre est fixe, la rotation est différente parce que c'est un système différent, mais continu, sans saut ni trou. Il s'agit de la même rotation que le tête-bêche de l'opposé binaire du guide, mais dont on doit changer les variables seulement, les remplacer par celles du système du guide devenu revers-mécanique. Ainsi, ça évite de faire une rotation théorique du système de a, quand il est fixe (revers-mécanique du point de vue mécanique), spécifiquement, pour ne pas que ce soit trop mêlant pour rien.

Alors, même si le système en tangente de la 1ère case du diagramme est plus compliqué, le principe des combinés et tribinés est le même que pour le système en tangente par défaut. Il s'agit seulement de bien identifier le secondaire du principal, ce qui est fait par les couleurs, rouge et bleu, respectivement, dans le schéma.

Pour les tribinés, quand les angles centraux sont compliqués mais croissants, ils doivent croître aussi, comme eux, pour faciliter la permutation éventuelle. Quand ce n'est pas le cas, il faut les lire en mécanique de leur complémentaire, pour qu'il reste du même côté. Par exemple, si le tribiné est décroissant en sinus, depuis le complémentaire c'est un cosinus, mais du côté hyperbolique, alors il faire sa mécanique, hyperbolique dans 2*l (l pour 90°), où il devient cotangente<1, du même côté circulaire que le sinus. L'algèbre du système n'en est pas affectée, car c'est toujours le même sinus, qui se lit en cotangente<1, que l'on met en position du 3e quadrant, en podaire, pour bien indiquer qu'il faut le lire tel.

C'est un détail technique, mais très important, parce que les centraux ne doivent pas décroître, sinon ça ne tourne pas, il y a blocage. Seuls les combinés peuvent décroître sans qu'il y en ait. Donc, quand un des tribinés est permuté au central principal, il doit nécessairement croître. C'est une condition, une règle, pour que ça fonctionne bien, pour le moment.

C'est une conjecture. Je n'ai pas encore trouvé d'exception, il y en a peut-être. Ça fait partie de la théorisation de bien comprendre le phénomène.

Conclusion

La correspondance de la mécanique hyperbolique algébrique avec l'arithmétique des angles est une connexion par les angles des variables. C'est un bel exemple de ce qu'on entend par connexion entre système: il s'agit d'avoir au moins un point de contact, et voir comment ils peuvent fonctionner ensemble, le chemin entre les deux, les structures d'appartenance.

On peut aller plus loin en cherchant comment on peut faire correspondre la pseudo-arithmétique, aussi, semblable à la formule de S et D en sin et cosinus, mais qui se fait en tangente et sécante, sans que ce soit une arithmétique des angles comme tel, cependant. Alors, là la connexion ne pourrait pas se faire par les angles des variables, mais d'une autre manière, chercher un point de connexion de remplacement, qui pourrait faire.

Plus on connaît de systèmes et de structures qui les relient, en mécanique hyperbolique algébrique, plus il est facile de trouver des points de connexion avec des systèmes connus de la géométrie classique ou courante, même très avancée, supérieure. L'avantage est que ces derniers étant souvent stagnants et indépendants entre eux, ou agencés suivant des critères différents, il est possible de les faire évoluer et connecter par la mécanique hyperbole algébrique, en suivant des chemins parallèles, ou proportionnels, synchrones, apparentés, etc..

Et à chaque fois, on peut faire des découvertes, trouver des choses qu'on ne savait pas. Pour moi, ici, par exemple, j'ai découvert que le diagramme de l'apposé de l'opposé binaire est le symétrique du diagramme des systèmes par défaut, pour tout guide. C'est très important, car ça facilite beaucoup le travail, la recherche de connexions, de structures, etc., par la suite.

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jeudi 13 décembre 2018

Les quatre algèbres de la mécanique hyperbolique algébrique

La mécanique hyperbolique algébrique étant une équivalence de la géométrie cartésienne au 1er quadrant étendue jusqu'au 3e toujours en réel, il me allait aussi convertir, dans ce contexte, ce que représentait l'arithmétique des angles, et les deux géométries qui en découlent respectivement, les circulaire et hyperbolique complexes, car tout est pratiquement avec ces quatre géométries, dans l'ensemble de la littérature. J'y ai toujours travaillé, mais les difficultés que j'ai rencontré ne sont pas différentes de ceux qui ont coupé court en créant tout simplement des artifices algébriques comme les nombres négatifs et imaginaires, sources des géométries dites relative (cartésienne au sens large) et complexe, respectivement.

Mais j'ai toujours cru que ces choses étaient calculables dans le réel, dans le sens de trouver le chemin pour y parvenir, ou, à défaut, leur donner au moins une algèbre exacte, non ésotérique. Ce qui incluait donc, en général, de faire une algèbre des trois autres géométries avec mes propres codes, termes, même si ça pouvait paraître non coutumier, ou familier, comme dans le cas de l'arithmétique des angles, ou démesuré, comme dans l'équivalent des circulaire et hyperbolique complexes, où les angles ne correspondent pas tout à fait avec le sinus correspondant, qui ne couvre en principe qu'un seul quadrant.

Ce sont des questions théoriques que je pourrais résoudre après, que je me disais, et ça a donné un schéma de l'ensemble de ces quatre géométries, avec ma propre algèbre réelle, codes ou dénominations, que voici:

Les quatre algèbres de la mécanique hyperbolique algébrique

La géométrie est trigonométrique, même avec des variables goniométriques

Quelle que soit la géométrie utilisée, cependant, elle se fait toujours suivant les principes de la première, car la géométrie est en soi exclusivement trigonométrique. Les angles, eux, ne servent que de mesure en regard des guides trigonométriques utilisés. La mesure de la portion du quadrant en cause qui correspond à tel sinus, cosinus ou tangente utilisé.

L'exemple de l'arithmétique des angles est patent: même si on utilise S et D (Somme et Différence) comme codes goniométriques, ce n'est toujours qu'avec leur sinus et cosinus respectifs que la géométrie est faite. De même en pseudo-arithmétique, avec les tangente et sécante de ps-do S et ps-do D respectifs.

En virant cette dernière en géométrie hyperbolique complexe, la pratique demeure la même, de faire de la géométrie avec la trigonométrie, ce qui s'étend donc aussi à celle circulaire, dont on a pensé qu'elle découlait logiquement ou symétriquement de S et D, mais ce n'était pas le cas, d'où un rajout de codes ésotériques seulement accessibles aux initiés de très haut niveau, comme disait Hermann Weyl.

C'est de la première géométrie dont elle vient en fait, celle trigonométrique ou cartésienne, comme je l'ai montré avec une flèche de la 1ère case du haut vers celle du bas. La symétrie, elle vient de là, et non de l'arithmétique des angles, qui comprend, et non exclu, la pseudo-arithmétique. C'est pourquoi ma flèche de l'arithmétique des angles, en 2e case du haut, descend vers la géométrie exponentielle, l'équivalent de celle hyperbolique complexe.

Ce n'est donc pas une erreur ou confusion de ma part: la pseudo-arithmétique est tout autant une arithmétique des angles, qui inclue tous les guides trigonométriques, cotangente et cosécante y compris, que j'appelle la pseuré-arithmétique. Seule l'opération change, indéfinie, seulement algébrique ou code ésotérique, mais qui revient à une arithmétique avancée, en fait, de structure différente, impliquant des angles différents que ceux indiqués.

Des variables goniométriques ne doivent pas porter à confusion: ce n'est pas une géométrie goniométrique comme tel, même si elle en porte le nom, pour distinguer d'une autre avec des variables trigonométriques. La manière de faire de la géométrie, c'est seulement avec la trigonométrie. Quand on a des variables goniométriques, il s'agit seulement de suivre leur trigonométrie.

Comment fonctionne ma géométrie, dans ce contexte?

Les 4 systèmes du schéma sont en sinus, donc ils fonctionnent exactement comme le premier, qui est le défaut. Ce que l'on voit, ce sont les angles centraux.

C'est à partir d'eux que l'on trace les combinés, qui sont le sinus de l'un sur le cosinus de l'autre. Avec le sinus du principal (en bleu), c'est le combiné comme tel, tandis qu'avec le sinus du secondaire (en rouge), c'est le contre -combiné. Ils se lisent en sinus, à partir du sinus de chacun. Quand le rapport de grandeur ou le sens de l'angle ne s'y prête pas, on utilise sa continuité en sécante ou en cotangente.

Les tribinés, eux, leurs triangles ne sont pas visibles, mais on voit leur variable respective dans l'algèbre des autres qui le sont, un à la fois, suivant qu'on travaille en géométrie du guide ou de son complémentaire. Ce sont le rapport de 2 côtés de même nature, en commençant par le secondaire: le rapport des sinus donne le radical de l'ordre, que l'on lit à l'opposé du sinus, soit comme tangente, ou en sa continuité cosécante-cosinus dépendant du rapport de grandeur ou du sens de l'angle; le rapport des cosinus, lui, se lit aussi à son propre opposé, soit en cotangente, ou en sa continuité sinus-sécante si le rapport de grandeur ou le sens de l'angle ne s'y prête pas, aussi, de la même manière. Ce dernier est le radical de l'ordre des complémentaires, quand on travaille avec eux, qui est plus difficile mais moins fréquent.

Cet ensemble de centraux, combinés et tribinés forme un système, que l'on peut relier avec d'autres, quand on trouve un point de connexion. Par exemple, tous les systèmes qui ont le même ordre, ou qui sont en sinus, qui tracent la même courbe, etc.. Il y a ainsi une multitude de connexions possibles, c'est infini.

Logs et exponentielles: conversion nominale des géométries circulaire et hyperbolique complexes

La géométrie hyperbolique complexe est une trigonométrie exponentielle et celle circulaire une goniométrie logarithmique. La base utilisée était un problème, car elle est aléatoire dans ces géométries, sans dire d'où elle provient, ou sur quoi on se base pour la choisir - comme si c'était un choix, n'importe laquelle!

Non, ça n'avait pas de sens pour moi, elle devait être algébrique, dédiée, d'appartenance quelque part, et j'ai remarqué que je pouvais la prendre dans le triangle d'où les variables proviennent, en trigo quand ils sont gonios, et vice-versa, car elles se multiplient et s'additionnent. En mécanique (1ère case du haut), le central principal est toujours fixe, donc en prenant l'angle du sinus comme base de la géométrie goniométrique logarithmique du dessous, j'obtiens tout autant un principal fixe aussi. Même principe, symétriquement, pour la base exponentielle sous le système de l'arithmétique des angles, à droite.

La correspondance est étonnante, et il ne peut y avoir de meilleure solution.

Au début, je m'interrogeais beaucoup sur la pertinence d'une géométrie goniométrique logarithmique, car, me disais-je, c'est bien plus simple avec S et D, pourquoi faire compliqué pour rien! Mais je ne savais pas que c'était en fait la géométrie correspondante à la si mystérieuse et ésotérique géométrie circulaire complexe avec laquelle j'avais tant de difficultés. C'est en remarquant le produit dans le sinus de g (mécanique euclidienne par défaut) et le rapport dans celui de la mécanique cartésienne, que j'ai fait le lien.

Et puis donc, de là, le lien avec l'arithmétique des angles et la géométrie trigonométrique exponentielle, d'autre part.

Le cas de la géométrie polaire           

Le rayon fonction de l'angle, en géométrie polaire, l'apparente à une géométrie goniométrique, mais la fonction réciproque, cependant, la met du côté trigonométrique, ce qui est ambivalent. Dans un sens, elle est goniométrique, mais trigonométrique dans l'autre.

Mais transformer une variable en l'autre ne la fait pas disparaître, car elle peut égaler 1 en trigo et 0 en gonio, pendant que l'autre tourne. La nature de la géométrie en cause ne change pas. Mais comme le polaire peut être vu dans un sens ou dans l'autre, de par la réversibilité goniométrico-trigoniométrique de sa fonction, il doit y en avoir une autre dont l'angle est fonction du rayon, et celle-là est trigonométrique. Il suffit de lui donner un nom apparenté, comme anti-polaire, par exemple, pour ne pas les mélanger, bien les distinguer, savoir de quoi l'on parle.

Distinction entre les géométries circulaire et hyperbolique classiques versus complexes

On sait que la géométrie dite hyperbolique sous-entend complexe dans la documentation, parce qu'elle découle de la pseudo-arithmétique et qu'elle en prend les variables dans une base exponentielle, le nombre e en l'occurrence. Celle circulaire aussi, par une sorte de symétrie de convenance, plutôt que réelle.

Cependant, les géométries circulaire et hyperbolique classiques sont toutes autres. Il y bien une correspondance entre le cercle et l'hyperbole, mais pas pour insinuer qu'elles sont logarithmiques et exponentielles en soi, comme le fait la géométrie complexe.

Non. Il s'agit simplement du départage des guides trigonométriques entre hyperboliques et circulaires. Le sinus est circulaire, parce qu'il trace le cercle, et la tangente est hyperbolique, parce qu'elle trace l'hyperbole équilatère - la mécanique du sinus de son angle, tangente / sécante, plus précisément. C'est la première géométrie dans le sens historique, parce qu'elle vient des Anciens, comme Euclide.

Il y a un symétrique ellipse avec la droite verticale, où la tangente trace cette dernière et le sinus l'ellipse équilatère - la mécanique de la tangente de son angle, sinus / cosinus, plus précisément aussi, pour employer le même langage. Mais il est moins connu ou familier, à part la directrice dans la théorie générale des coniques , donc moins mnémonique aussi, de sorte qu'il est sous-entendu quand on parle du cercle et de l'hyperbole. L'un comprend l'autre, comme la mécanique hyperbolique comprend aussi celle de l'ellipse, sans le dire explicitement, dans la dénomination de ma géométrie ('mécanique hyperbolique algébrique'), notamment.

Dans celle-ci, donc, par extension, j'appelle le sinus, sécante et cotangente des guides trigonométriques circulaires, parce qu'ils se suivent en continu, sans trou ou interruption. ni saut quelconque, jusqu'au 3e quadrant. De l'autre côté, la tangente, cosécante et cosinus sont, eux, dits hyperboliques, de par le même principe de continuité, sur 3 quadrants aussi.

Ainsi, une courbe en sinus est dite circulaire, pendant qu'une autre en tangente l'est comme hyperbolique, dans ma géométrie. C'est dans l'esprit classique, et non complexe, de l'interprétation de ces deux qualificatifs.

C'est pourquoi celles complexes n'entrent pas dans mon vocabulaire, et je préfère les nommer de par leur véritable rôle, qui est de faire des géométries goniométriques logarithmiques et trigonométriques exponentielles. D'où le nom que je leur ai donné dans mon schéma, avec une note pour la correspondance avec les géométries complexes apparentées.

Ajustement de la démesure entre l'angle et son sinus dans les géométries logarithmique et exponentielle

La démesure entre l'angle et son sinus dans les systèmes logarithmique et exponentiel peut faire penser aux géométries non-euclidiennes, sphérique et pseudo-sphérique, car la somme des angles complémentaires devient plus grande ou plus petite que 90°, et il y a peut-être une relation, mais en 2 dimensions, dans ma géométrie, ça signifie, pas simplement car c'est quand même assez compliqué, que l'angle est seulement synchrone avec son sinus à une certaine hauteur, par exemple après, ou même avant, un certain nombre de tours.

En effet, le sinus revient au 4e quadrant, après avoir passé par une identité sécante et cotangente, puis au 7e, et ainsi de suite jusqu'à revenir à la même position du 1er, au 3e tour de l'angle, ce qui est, pour lui, un re-départ au 13e quadrant.

Alors, si, par exemple, l'angle, qui est en fraction dans ma géométrie, augmente à partir de 30 pour un pauvre petit sinus au 1er quadrant, ça veut dire que celui-là a accompli 10 fois 3 tours du cercle, et que le sinus qu'on voit est en réalité, non pas au 1er quadrant mais au 121ème, 10 fois 12 quadrants + 1, d’où il correspond à l'angle qui augmente à partir du 120ème.

Pour les angles décroissants, il faut comprendre que, tout comme un guide trigonométrique, un angle va à l'infini et redescend. La tangente, par exemple, elle va à l'infini puis redescend en cosécante au 2e quadrant et en cosinus au 3e. C'est le même principe, sauf qu'on n'a pas l'habitude de donner des noms de sections différentes aux angles comme les guides trigonométriques en ont pour chaque quadrant qu'ils parcourent.

Donc, en redescendant, l'angle suit le même chemin que lorsqu'il a monté, car on le mesure d'en bas et non d'en haut, ce qui est infini et incalculable. Le sinus, quant à lui, demeure à une même position comparable, de sorte qu'il correspond au même angle, que celui-ci descende ou non.

Pour calculer adéquatement, il faut comprendre que le sinus va décroître si son angle correspondant décroît, ce qui est contraire à l'idée qu'on en a, parce qu'il nous est enseigné dans le sens croissant, anti-horaire. Mais ce n'est qu'un code, ou un nom qu'on lui donne, qui peut aussi jouer le rôle d'un cosinus quand l'angle décroît.

C'est le principe de base du calcul de la correspondance du sinus avec l'angle, quand il y a démesure. Ce n'est pas du tout tridimensionnel non-euclidien, ni complexe ou relatif en deux dimensions. Tout est calculable exactement en réel, avec seulement des nombres positifs. Tout comme l'algèbre, qui est positive, alors les nombres aussi le sont.

On peut sophistiquer ce calcul dans la mesure de nos connaissances, expérience de la géométrie. Ce que j'en dit, c'est seulement que c'est faisable, pas impossible.

Ainsi, mon schéma n'est pas caduc aux systèmes logarithmiques et exponentiels. Ce sont bel et bien de vraies géométries strictement réelles, tout comme celles du haut. Seulement un peu plus compliquées, mais capables de résoudre des problèmes différents, faire des courbes plus élaborées, exotiques, et dévoiler des structures inimaginables autrement.

Le rapport des variables (mécanique cartésienne): pas dans ce schéma-ci

Les mécaniques euclidienne et cartésienne, respectivement pour le produit et le rapport des variables, étant complètement différentes, indépendantes l'une de l'autre, comme l'indique clairement le diagramme combinatoire de tous les systèmes (non encore publié), changer le produit pour le rapport, tel quel ou commuté, dans le premier dessin, n'aurait pas de correspondance exacte dans les 3 autres, parce que l'une des variables serait en fait inversée.

Ça prendrait donc un autre schéma, dit cartésien, pour en rendre compte exactement. Donc, il ne faut pas changer le produit par le rapport dans ce schéma-ci, car il n'est exclusivement valable que pour la mécanique euclidienne, qui est celle par défaut, la plus facile aussi.

Parce qu'elle correspond exactement à la nature trigonométrique de la géométrie, qui signifie produit des variables, dans le sens de tant de fois le sinus (ou tout autre guide trigonométrique), qui est la raison de la progression arithmétique. Or, donc, faire le rapport des variables, c'est multiplier, en fait, l'un par l'inverse de l'autre. Le principe est donc le même, la multiplication, mais l'algèbre est différente dans les deux géométries, euclidienne et cartésienne, de sorte qu'elles ne se mélangent pas, ne peuvent pas être confondues.

C'est pourquoi le produit ne peut pas être changé pour le rapport, dans ce schéma-ci. Algébriquement, ça ne fonctionnerait pas. Ça prend un schéma à part, spécifique à la mécanique cartésienne.

Conclusion

La mécanique hyperbolique algébrique peut rendre compte exactement de la géométrie complexe en géométrie strictement réelle. C'est ce que montre ce schéma, derrière lequel peut faire correspondre n'importe quelle structure complexe.

Déjà, je pouvais interpréter et transcrire n'importe quelle courbe de la géométrie cartésienne relative, i.e. en coordonnée positives et négatives, ce qui inclu aussi les résultats de la géométrie complexe, mais il ne me manquait que la correspondance géométrique de cette dernière. Le plan complexe, autrement dit, à quoi correspondait-il, en géométrie strictement réelle.

Je pouvais déjà comprendre le passage de la pseudo-arithmétique vers la trigonométrie exponentielle, qui est basée sur la géométrie de l'hyperbole. C'était la partie circulaire qui me manquait, ou elliptique, relative à l'ellipse. Ce n'est pas expliqué nulle part, parce que ce n'est pas connu, ou compris.

En effet, si le passage de la pseudo-arithmétique à la géométrie exponentielle est bien expliquée dans la documentation, pourquoi n'en est-il pas autant du chemin inverse de celle logarithmique, qui lui est symétrique? Si l'indice (l'exposant) de l'exponentielle réfère à un angle, comme découlant de la pseudo-arithmétique, par exemple, alors celui du logarithme, l'antilog,  devrait, lui, le faire pour un guide trigonométrique, comme découlant d'une trigonométrie propre, par exemple réciproque.

Or, quelle est cette trigonométrie propre? Ce doit être un produit, ou un rapport, de guides trigonométriques, comme des angles s'additionnent et se soustraient en exposant de l'exponentiel, comparativement. Dans la documentation, il existe bien de tels produits (ou rapports) trigonométriques, mais seulement reliés à des fonctions ou structures quelconques en 2 et 3 dimensions, sans identité générale qui les unisse, unifie, comme c'est le cas de l'arithmétique des angles pour la somme et différence, symétriquement.

C'est alors que je me suis dit,

- mais cette trigonométrie unifiée du produit et du rapport, c'est la mienne!

C'est la mécanique hyperbolique algébrique, que j'ai découvert, étudié et théorisé seul. Elle n'existe pas dans la documentation, seulement des bribes ici et là, relatives à d'autres choses, des cas particuliers quelconques. Ce serait pourquoi, je pense, le lien n'est pas fait entre la goniométrie logarithmique et la trigonométrie, comme il l'est effectivement et clairement entre la trigonométrie exponentielle et l'arithmétique des angles, via le cas particulier de la pseudo-arithmétique.

C'est ainsi, donc, que je peux établir clairement cette relation, parce que c'est avec ma propre géométrie, la mécanique hyperbolique algébrique, qu'elle se fait. Une géométrie complète, structurée, fonctionnelle, la vraie géométrie strictement réelle, en fait. Car elle peut rendre compte de la géométrie complexe, comme l'illustre bien mon schéma, avec laquelle se fait toute la géométrie supérieure.

Ma géométrie peut être pratiquée par quiconque qui suit un peu les éléments théoriques que je donne sur ce blog, de temps à autre, en accompagnement des dessins et schémas que je publie. Elle n'est pas difficile comme tel, il y a des angles centraux, avec le rapport simple et combiné de leurs guides trigonométriques et complémentaires, formant un système, qui tourne sur trois quadrants. C'est tout. Le reste, c'est comme dans toute, géométrie, utiliser des rangs, analyser la rotation, faire des courbes, etc.. Tout ce qu'on connaît déjà peut être mis à profit, comme la géométrie différentielle, l'arithmétique des angles, les radians, vecteurs, calcul matriciel, géométrie polaire, calcul à l'infini, etc..

Il faut juste faire attention de ne pas tomber dans le négatif: à zéro, ça remonte, comme ça redescend rendu à l'infini, en respectant la continuité trigonométrique. Dans une soustraction ou addition, à égalité des termes, il faut les permuter, toujours garder le plus grand en avant, en premier. C'est ainsi qu'on peut faire de la géométrie strictement positive.

Ce n'est pas impossible, seulement un peu plus compliqué: la continuité trigonométrique est sans défaut, faite pour fonctionner ainsi. Si on pense que ça ne fonctionne pas, c'est parce qu'on a fait une erreur, et il faut recommencer nos calculs, souvent plusieurs fois, mais avec l'expérience, on apprend à le faire correctement. Même les cas les plus difficiles, comme le calcul différentiel, fonctionnent bien, même si ça paraît impossible, et que dans la documentation on utilise les nombres imaginaires pour les résoudre. C'est justement là que le fil se perd, en apprenant qu'un triangle dont tous les côtés tendent vers 0 ne peut être résolu par des nombres strictement positifs. C'est que, ces nombres, ce sont des guides trigonométriques qui se suivent en continuité, changent de nom en remontant de 0 ou en redescendant de l'infini, tout en changeant ou non de quadrant. Il s'agit de les suivre, et on peut tout à fait demeurer en géométrie strictement positive. Les nombres négatifs ou imaginaires, c'est de la facilité algébrique, on n'en a pas besoin. On veut garder la continuité géométrique de nos courbes, et ce n'est qu'en respectant la continuité trigonométrique strictement positive qu'on peut le faire.

En relatif ou complexe, on perd cette continuité, et ce n'est plus qu'algébrique, sans repère géométrique réel positif pour nous guider. La trigonométrie perd son nom, et ne peut plus être utilisée comme tel. Et quand on reconverti ces données en positif réel, il y a des bouts qui se perdent. ne se raccordent plus ou sont à la mauvaise place, sens dessus dessous. C'est différent.

C'est bien, quand on l'apprend comme ça et que c'est utile pour le travail, les recherches, son gagne-pain. Toute la géométrie supérieure s'est développée à partir de là, c'est donc très utile, mais ça a rejeté la géométrie strictement réelle dans l'oubli, comme si elle était caduque, désuète, dépassée, périmée, incapable de rendre compte des calculs à l'infini requis par la géométrie différentielle et intégrale. Historiquement, c'est ce qui s'est passé.

Dans ma géométrie, cependant, ce n'est pas le cas. C'est un système, qui peut aussi rendre compte d'un triangle réduit à zéro ou l'infini dans tous ses côtés, disparaître dans l'infiniment petit ou grand, et réapparaître à l'autre bout ou au même endroit sans perte aucune tout en gardant sa continuité trigonométrique strictement réelle, donc celle de sa courbe aussi. C'est sa particularité, la continuité. Une géométrie sans faille, capable de tous les exploits. Il s'agit de bien calculer, et ça fonctionne bien.

C'est donc qu'on peut mettre aussi à profit ses connaissances en géométrie relative et complexe, en mécanique hyperbolique algébrique. Parce que ce sont des structures connues, qu'on peut analyser d'une autre manière, comparer, voir comment on peut l'utiliser. Ça peut permettre de faire des connections, c'est ça le but de ma géométrie, justement, la connexion entre systèmes, l'interconnexion. Des fonctions très compliquées peuvent ainsi être ramenées à une expression plus simple, un système plus élémentaire, moins élaboré.

Tout ce qu'on connaît déjà en géométrie, statistique, mathématique, algèbre, quelque soit leur complexité, peut être mis à profit dans ma géométrie. C'est un système, et il peut tout intégrer, interpréter, utiliser. Une géométrie ouverte, à l'épreuve de toutes les complexités.

Ce qui est intéressant, donc, c'est de faire des structures, qui peut conduire à des formules inédites, inconnues, des algorithmes efficients - tout ça en réel strict, sans nombre négatif. On remarquera que c'est différent, plus complet et exact, ce qui est très avantageux. On gagne à utiliser la mécanique hyperbolique algébrique, découvrir et faire voir des choses qui n'existent pas en cartésien relatif et géométrie complexe.

C'est le contraire de ce qui est prétendu, que ces derniers sont plus complets que le réel positif, je sais. Mais il s'agit de structures numériques, pas de géométrie. Avoir plus de nombres ne signifie pas plus d'exactitude, car tous ces nombres excédents doivent être ramenés aux seuls positifs, finalement, ce qui est donc strictement une algèbre, pas une géométrie.

Les nombres négatifs et imaginaires ont un rôle algébrique, dans la compréhension de structures géométriques réelles. Le chemin est algébrique, alors qu'en géométrie strictement réelle, positive, il est algébrique aussi, mais géométrique en même temps. Il y a donc une partie géométrique qui est perdue quand on utilise des nombres négatifs et imaginaires, mais qui peut être recouvrée avec la mécanique hyperbolique algébrique. Pas tout le temps, car c'est très compliqué, mais c'est possible, en principe, car ses systèmes sont connectables entre eux, dans la mesure où on trouve des points de contact. Et plus on connaît de structures, plus il est aisé d'en trouver.

Mais tout ça, c'est très loin et compliqué. On peut utiliser la mécanique hyperbolique algébrique de façon élémentaire, c'est déjà très intéressant. Et y aller pas à pas, à mesure qu'on en apprend.

Pour moi, ce schéma de la correspondance à la géométrie complexe est une découverte théorique très importante.

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Je n'ai pas planifié d'avance ce schéma et cet article qui en résulte. Je travaillais sur la quadratrice, et il m'est apparu un matin, après des années d'études et de recherches sur la question. Alors, j'ai compris que c'était très important, et j'ai ms mes travaux sur la quadratrice de côté pour le faire.

Il me sera très utile à l'avenir, et j'espère pour mes lecteurs aussi.

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