C'est à ce point où j'en suis rendu, de pouvoir schématiser son architecture algébrique, après l'avoir théorisée à point, pour l'essentiel.
Architecture algébrique de l'arithmétique des angles en géométrie strictement réelle |
Les données du schéma permettent de tracer les courbes en cause, pour les lecteurs avancés, mais l'algèbre de la mécanique hyperbolique algébrique comme telle peut être un frein, malgré les quelques explications données sur le dessin. Ma théorie n'est pas encore théorisée publiquement, mais ces schémas sont l'occasion d'en donner quelques bribes pertinentes, pour la compréhension.
Dans ma géométrie, l'architecture algébrique de l'arithmétisation des angles, prise au sens large, incluant la pseudo-arithmétique en tangente et sécante, de même que leurs pendants en cosécante-cotangente et cosinus<(1/2)½-sinus>(1/2)½, se fait sur les mêmes principes que j'expose ici, pour le sinus-cosinus, propre à l'arithmétique comme telle. Seulement les termes changent, l'algèbre, ainsi que l'architecture, mais la structure algébrique et schématique reste la même, comme telle, seulement propre à chaque trigonométrie.
C'est pourquoi mon dessin, qui présente le cas de S, la somme des angles, est un modèle générique, valable pour toute autre trigonométrie, adaptée. Autrement dit, je présente un exemple de ce qu'est le principe de la géométrisation de l'arithmétisation générique des angles, donc qui incluent les pseudo-angles et toutes sortes d'angles qui ne sont pas des angles, mais dits tels par généralisation de langage.
C'est une première présentation, suite à ma théorisation qui est maintenant complète, sur ce point. I.e. que je connais le fonctionnement, il s'agit de la façon dont ça fonctionne. C'est en gros. Pour les détails, c'est à chacun d'y voir, car c'est immense. Mais quand on sait comment ça marche, c'est plus facile. C'est déjà un pas, le principal.
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